Les archives
Méditation du mois de juillet : les 5 éléments
Méditation du mois de juin : le triangle de guérison. A faire et refaire dès que vous en avez envie.
Méditation du mois de mai : le mois de Marie et son anagramme Aimer :
Méditation du mois d’avril 2022 : Le fil… méditation active
Méditation de la Petite Graine : pour planter, faire germer et voir fleurir une nouvelle habitude, un rêve, un projet, etc…
Méditation du mois de mars 2022 : Installons la Joie
Méditation du mois de février 2022 : Le mois de l’Amour
Méditation du mois de janvier 2022 : le 13ième chakra : l’arc en ciel
Méditation du mois de décembre : le 12ième chakra : platine
Méditation du mois de novembre : le 11ième chakra : le mauve
Méditation du mois d’octobre : le 10, le 10ième chakra : visons l’or.
Connexion méditation interplanétaire pour la pleine lune et l’équinoxe d’automne
Texte libre
Seul
Méditation du mois de septembre : le 9…ième chakra, le rose pour les rentrées et l’équinoxe d’automne
Méditation du mois d’août : l’infini et la fleur de vie
Méditation du mois de juillet :
Connexion interplanétaire solstice d’été 2021 :
Persévérance
La persévérance (percée vers anse).
Le langage des oiseaux m’interpelle toujours dans le décodage des mots et dans la signification cachée que l’on peut leur donner.
La persévérance est une qualité qui, dans ce monde où tout doit aller vite et sans effort, est rare.
Pour aller vers l’anse, vers une baie ou, pour prendre une poignée, il nous faut souvent réfléchir. L’homme, cet être qui pense (ou qui devrait penser) est rempli de doutes et de questions. Puis, à un moment, avec de la persévérance, il y a une percée : un trou qui nous montre une lumière et là nous avançons.
La persévérance n’est pas de l’entêtement. La persévérance est un but à atteindre et vers lequel on avance.
Je nous souhaite d’être persévérant.e et d’être dans l’ici et maintenant où tout se pense, se crée et se joue.
Pic by @Pixel On Road et Tenue par Emma Home Couture (Emmanuelle Harvard)
Méditation du mois de juin : le 6, le troisième oeil (6ième chakra), la carte de l’amoureux (tarot de Marseille) et sous le signe du gémeaux en majorité !
Méditation Pleine lune du 26/05/2021 : curiosité et générosité
Méditation de la nouvelle lune du 21/05/21
Méditation du mois de mai : les 5 éléments
Réflexion
Mettre un pansement sur une blessure physique nous le faisons souvent à un enfant.
Mettre un pansement sur une blessure morale ou émotionnelle nous le faisons en écoutant ce que notre enfant intérieur réveille et révèle en nous… cette part enfouie qui demande à être apaisée, aimée davantage et aussi ce que l’autre réveille en nous.
Mettre un pansement ce n’est pas fermer les yeux sur une blessure, souffler dessus pour que la douleur parte.
Mettre un pansement devrait être croire qu’en réunissant, en rattachant toutes les parts de nous, éparpillées ou explosées, cela nous permet de nous réaliser davantage, d’évoluer un peu plus avec et à travers les autres.
Mettons ou laissons mettre ce pansement pour que nos doux leurres deviennent conscients.
L’attention que nous nous portons, l’amour que nous nous donnons sont les énergies de guérison que le pansement renferme entre ces deux parts collantes, ce milieu doux et rassurant.
Méditation 1ère nouvelle lune du printemps du 12/04/2021 :
https://www.youtube.com/watch?v=bhlqdZ_4G4M&t=4s
Méditation du mois d’avril : le 4ième mois de l’année : explorons 4 directions.
Méditation PL du 28/03/2021 axe Balance-Bélier
Méditation NL du 13/03/2021
Méditation du 3… les 3 plans pour le mois de mars
Méditation du Miroir pour ce mois de février et pour tous les mois paires
Méditation Pleine Lune du 28/01
Méditation Nouvelle Lune du 13/01
1ère Méditation de l’année 2021
Méditation pleine lune du 30-12-2020
Connexion interplanétaire selon Enelph du 21-12-2020
Outil du mois de décembre : nettoyage en conscience !
Méditation nouvelle lune du 15/11/2020
Outil du mois de novembre : douche de lumière
Connaissance – co naissance – Savoir – ça voir
Le savoir… »voir ça » dans ce monde est comme la connaissance.
Nous voyons quelque chose et bien souvent nous ne co-naissons pas avec l’autre et les autres, ni avec soi en premier.
Trop préoccupé.e par avoir avec un s (savoir où le s est même devant lol) (ou le à voir) plutôt que se connaître et co-évoluer et ÊTRE.
Quand le mental n’est pas aligné avec l’émotionnel, quand les pensées ne sont pas ressenties avec le coeur, nous restons dans une connaissance superficielle, non pratique, non aboutie, non co-naissante.
🙏
Outil du mois d’octobre : Ho oponopono
https://youtu.be/EldwjJITojE
Outil du mois de septembre : le sablier du coeur :
https://www.youtube.com/watch?v=WxJPQJvlMRs
Outil du mois d’août : les bonshommes allumettes de Jacques Martel revisités : Nous et une situation à concrétiser ou à récréer positivement.
Outil du mois de juillet : bonshommes allumettes de Jacques Martel revisités : Nous et une part de Nous
Outil du mois de juin : Numen Process
Réflexion : Rester chez soi
Rester chez soi… le confinement
Le déconfinement va s’installer… qu’avons-nous appris de ce confinement, de ce « rester chez soi » ?
Rester chez soi ce n’est pas seulement ne pas sortir.
Rester chez soi c’est écouter le silence, écouter nos pensées, ressentir nos émotions, s’éveiller à d’autres croyances, à d’autres valeurs ou simplement les retrouver.
Rester chez soi c’est entendre nos informations, ce que notre corps nous exprime, ce que notre cœur exprime et décider, en conscience, d’écouter à nouveau, de faire de nouveaux choix ou simplement poursuivre notre chemin.
Rester chez soi est une opportunité de s’écouter entièrement et complètement et dans le silence apprendre ce qui n’est pas en équilibre en nous, ce qui nous provoque des pensées récurrentes (le petit vélo) ou des émotions (colère, tristesse, peurs…).
Rester chez soi peut nous avoir appris que l’extérieur, les informations nous arrivent au bon moment pour nous apprendre quelque chose. L’apprentissage (l’apprenti sage) vient toujours de l’intérieur, de ce choix que nous posons en acceptant une réalité plutôt qu’une autre. L’extérieur reste une illusion (la vie des autres c’est l’avis des autres).
Rester chez soi c’est garder son libre arbitre dans le libre accueil en conscience de qui nous sommes et voulons devenir.
Alors ce confinement, ce « rester chez soi », il vous a parlé, il vous a changé, il vous a appris des choses sur vous, il vous a révélé qui vous êtes, il vous a appris à plus vous aimer, il vous a appris à être plutôt que faire pour plaire, il vous a appris à revoir vos choix, vos valeurs, vos croyances, vos convictions, il vous a redonné la joie, le courage, la force, la liberté d’être qui vous souhaitez, il vous a appris qu’être solitaire c’est être solidaire avec vous-même (vous m’aime)… ?
Je nous le souhaite à tous pour que cette réalité vécue soit un passage (un pas sage) supplémentaire dans notre évolution d’être humain, en vie, en gratitude avec ce qui l’entoure et non en révolution !
Namaste.
La gratitude : un outil pour ce mois de mai et pour toute l’année.
L’outil du mois d’avril : la salutation matinale
La méditation pour la Joie :
Le son Hi et le son Ha : sons de nettoyage et d’harmonisation.
Réflexion
S’accrocher
Dans le sens positif, s’accrocher à nos rêves est une merveilleuse façon de se donner la possibilité de les créer dans la réalité.
S’accrocher est souvent négatif ou inopportun.
S’accrocher avec quelqu’un ; c’est se mettre en déséquilibre, c’est refuser de voir ce qui « cloche » en nous et de se remettre en question, c’est donner du pouvoir à l’autre, c’est prendre le pouvoir sur l’autre, c’est se mettre dans un des rôles du triangle de Karpman; c’est être dans le combat et la colère. Tout le monde agit et réagit différemment. Tout le monde a un fonctionnement qui lui est propre et s’accrocher avec quelqu’un c’est vouloir avoir raison, c’est juger… L’autre a autant raison que nous et l’autre juge autant que nous. Faisons la paix avec nous-même pour éviter de nous accrocher avec quelqu’un.
S’accrocher à quelqu’un ; c’est également se mettre dans un des rôles du triangle de Karpman, c’est décider de ne plus vouloir avancer, explorer par soi-même ; c’est donner notre pouvoir à l’autre ; c’est se résigner ; c’est survivre et non vivre ; c’est rouiller sur place en laissant le temps faire… en laissant l’autre faire pour nous. Aimons-nous davantage pour que l’autre soit un plus dans notre vie comme nous pouvons l’être dans la vie de l’autre si, nous-même (nous m’aime) le sommes pour nous… si nous nous aimons tel.les que nous sommes, nous étions et nous devenons.
Namasté
Méditation 2020
Réflexion
Evidence : hé vie DANSE
Evidence : vous est-il arrivé.e que tout se place, tout s’emboîte, tout soit simple ? une évidence ! Je vous le souhaite et plus qu’une fois et de nombreuses à venir.
L’évidence c’est cet instant où, sans l’avoir vraiment calculé, les pensées se mettent en action au bon moment et au bon endroit et… bien entendu avec les bonnes personnes.
La vie danse.
Cette célébration de la vie est alors une fête, une danse harmonieuse car tout devient joyeux.
C’est un peu comme le pardon et gratitude qui se complètent et le soleil et la lune qui équilibrent : l’hé vie DANSE.
Pardonnons donc notre passé et ce qui s’est passé et remercions pour l’instant présent, la lucidité du moment qui crée l’hé vie danse.
L’évidence qui évite la densité, le dense d’une situation, d’un moment, d’une rencontre ; l’évidence c’est la légèreté de la vie, de la ballerine gracieuse (le merci) et c’est surtout un mental au calme et un cœur en paix.
Je nous souhaite des hé vie danse !
Namasté
Méditation du mois de décembre : le bilan – le 12, le pendu : le détachement
Méditation du mois de novembre : l’unicité
Réflexion : Trésor – Très Or – Trait Or
Trésor
Trésor : trait or et très or.
Le trésor peut être caché, enfoui, trouvé, rayonnant, brillant, lumineux… rempli d’or, de joie.
Trésor est aussi un qualificatif que nous donnons à des personnes précieuses non pas à nos yeux mais à notre cœur. Ces personnes qui provoquent la joie… le reflet de l’amour.
Ce trait d’or que nous avons perçu dans leurs yeux, dans leurs mots, dans leur âme qui nous a parlé continue soit à briller soit s’éteint selon l’intensité de l’amour apporté, de l’attention, de l’échange et du partage.
Le très or ; ce côté lumineux nous attire comme la lumière et nous y restons attaché.e et parfois aveuglé.e.
A nous de savoir si nous voulons que ce trésor reste caché, enfoui, découvert, rayonnant, brillant, lumineux et si nous sommes prêt.e à partager… à le partager et réciproquement.
Namasté
Méditation du mois d’octobre : les équilibres
Réflexion : solitude… solitaire
Solitude et solitaire
La solitude pèse à beaucoup de personnes d’où, chez certaines, ce besoin de faire, de bouger.
Se poser et se reposer, être à l’écoute de son corps, de son cœur ; c’est se permettre d’être solitaire.
Être solitaire ne veut pas dire être associal.e. Un être solitaire est justement en équilibre avec les pleins et les vides. Les pleins en lui qu’il crée par des rencontres, des relations amicales, professionnelles ou amoureuses. Ses pleins font partie de ses essentiels (essence en ciel). Les vides sont ses moments d’introspection, de récupération, de libération et d’intégration en solo : soi face à Soi.
Certes l’autre peut nous faire face et devenir notre miroir, n’empêche que le plus beau des miroirs est le nôtre ; celui avec lequel nous sommes en communion : un comme union.
Le solitaire est parfois bavard ou parfois taiseux.
Le solitaire n’accorde ses mots, sa présence qu’à des êtres choisis, triés.
Le solitaire ne s’attache à personne.
Le solitaire vit sa vie de manière la plus consciente possible en tentant de mettre en équilibre les deux parts qui le constituent : le côté solaire et sociale et le côté lunaire et introverti, sa part masculine et sa part féminine.
Ne confondons pas une personne seule et une personne solitaire : la première a besoin voire est dépendante de l’autre ; la seconde vit parfaitement en harmonie avec elle-même et n’autorise que quelques rares personnes à faire partie de sa vie. Bien des personnes seules sont pourtant en couple ou ont une famille et bien des personnes solitaires le sont également et ne sont pas spécialement célibataires ou sans enfant. La situation de célibat ou de couple n’a rien à voir avec la solitude et l’état du solitaire.
Je suis fière d’être une personne solitaire et je remercie les personnes qui font partie de ma vie et pour qui mon cœur bat chaque jour… un peu plus en harmonie avec la mélodie qu’est la vie.
Et vous solitaire ou… en solitude ?
Namasté
Réflexion : le poids
Le poids
Le poids, ces kilos en trop ou en moins. Ce poids serait-il notre passé que nous traînons ? Ce poids serait-il notre manière de nous protéger, de ne pas être touché.e de trop près ? Ce poids est-il notre moyen de prendre de la place ?
Tout peut être léger ou lourd selon notre attitude, notre comportement, notre niveau de conscience, nos fonctionnements, notre niveau d’accueil mais aussi nos attentes, nos projections, nos croyances, nos idées reçues.
Au lieu d’avaler n’importe quoi et n’importe quand que ce soit de la nourriture ou des paroles, posons-nous la question de ce que nous désirons vraiment : être léger ? être lourd ? Nous alléger ? Nous alourdir ? Nous libérer ? Nous protéger ?
Trouvons notre poids idéal aussi bien dans notre corps que dans nos paroles pour rayonner la bienveillance et avec bienfaisance. Digérons en nous posant les bonnes questions !
Namasté.
Méditation du mois de septembre : renaissance – co… naissance
Réflexion : Le bonheur – la bonne heure
Le bonheur
Nous sommes à une époque où tout doit nous tomber du ciel. Tout doit aller vite. Aucune fondation et aucune base. Aucune introspection ou si superficielle que tout est éphémère.
Aurions-nous peur du bonheur ?
Aurions-nous peur d’être heureux avec autre chose que des biens matériels ?
Serions-nous simplement des jouisseurs de la vie, de l’instant cadeau et peu importe ce qui s’est passé et ce qui se passera ?
Serions-nous démuni.e d’un besoin d’évoluer, d’une volonté d’augmenter notre niveau de conscience ?
Le bonheur semble faire peur à beaucoup de personnes tout simplement parce qu’elles ne s’aiment pas. Tout simplement aussi parce qu’elles s’interdisent d’aimer par peur de souffrir. L’amour guérit pourtant, l’aurions-nous oublié ou réduisons-nous l’amour à des relations romanesques, à des expériences avec des autres sans conscience, sans valeur ? Certaines personnes n’acceptent pas leur passé ; soit elles y restent en permanence, soit elles se projettent dans l’avenir. Le moment cadeau, ce présent elles n’y sont pas. Elles ne pensent pas bien et ne créent donc pas bien.
Le bonheur se construit, se vit, s’entretient. Soyons conscient.e que notre présent est vraiment un cadeau et non une jouissance matérielle, du superficiel. Ce présent fera bientôt partie de notre passé et sera une fondation alors pensons bien pour créer une réalité à la hauteur du bonheur que nous envions aux autres. Ne projetons rien qui se réduit à du matériel. Soyons conscient.e que tout peut nous procurer du bonheur. Ce sont les petits bonheurs qui forment le bonheur car ils se réalisent à la bonne heure, dans l’instant bien pensé qui se crée.
Namasté.
Méditation du mois d’août sous le signe du lion !
Méditation du mois de juillet : libérons nos petits cancers ! https://www.youtube.com/watch?v=4cK8sCsRn_A&t=7s
Réflexion : Gentil.le
Pic @Spiritualité et Bien-être
Vous dit-on fréquemment : « tu es gentil.le » ? Vous le dites-vous ?
Est-ce une qualité, une manière de rentrer en communication (voire une manière de plaire et/ou de séduire) ou est-ce le mode « cour de récréation » et un jugement primaire qui en émane ?
Qu’est-ce qui résonne en vous quand ce qualificatif est utilisé (ou que vous utilisez ce qualificatif) ?
Vous sentez vous blessé.e, diminué.e, rassuré.e ?
Vous pouvez vous sentir blessé.e car la connotation donnée à la gentillesse est, de nos jours, équivalente à : « t’es bon, t’es con ». Le gentil n’est pas une personne stupide à qui tout peut être dit, de n’importe quelle manière et à n’importe quel moment. Ce n’est pas un demeuré comme voudrait le faire croire l’opinion général.
Vous pouvez vous sentir diminué.e car le cercle dans lequel est utilisé ce qualificatif l’est comme si ce cercle était encore une cour de récréation où il y a : « les gentils » et « les méchants ». Ce cercle d’adultes-enfants qui laissent crier leur enfant intérieur tant de fois diminué ; le cercle du « c’est celui qui le dit qui l’est ! ».
Vous pouvez vous sentir rassuré.e car depuis petit.e vous avez été traité.e de « méchante » et là enfin votre enfant intérieur ne crie plus, il se sent aimé, reconnu et… faisant partie de la masse. Personnellement faire partie de la masse ne m’intéresse nullement et vous ?
Donner un qualificatif à quelqu’un c’est le juger, lui mettre une étiquette.
Essayons simplement, avant de dire quelque chose, de nous mettre à la place de la personne à qui nous donnons un qualificatif. Accepterions-nous avec joie ce qualificatif ou le ressentirions-nous avec toutes sortes d’émotions négatives possibles : rancœur, mélancolie, amertume, colère, tristesse ?
Des mots, des qualificatifs peuvent réactiver des blessures… les fameuses 5 blessures de notre âme donc, comme disait ma grand-mère : « ne fais pas à l’autre ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse ».
Surveillons nos mots pour qu’ils ne soient pas des maux pour les autres. Communiquons sincèrement et avec bienveillance. Ne nous contentons pas d’être gentil.le, soyons vrai.e, bienveillant.e et du coup bienfaisant.e.
NAMASTE.
Méditation du mois de juin : RESPIRONS !
https://youtu.be/HkRXruvhLZc
Article – réflexion :
Etiquette.
Emettre une pensée en sachant qu’elle se crée quand elle est alignée avec notre émotionnel est prometteur d’une réalisation juste et parfaite pour nous, pour ce personnage que nous sommes.
Emettre une pensée sur une personne c’est émettre un jugement, donner une sentence et la réalisation est une étiquette posée sur le front de cette personne, une étiquette invisible certes mais qui empêche l’autre de penser clairement et donc une réalisation sereine et parfaite.
Cette étiquette que nous mettons sur le front de l’autre de manière virtuelle et/ou répétitive par les mots employés nous réduit, nous limite. (Notons que le troisième œil, ce centre de la vision interne et externe est obstrué par l’étiquette que nous nous sommes mise ou que nous avons posée sur le front de l’autre même virtuellement).
Cette étiquette ne nous la mettons pas et ne laissons pas les autres nous en coller une de manière consciente ou inconsciente.
Arrêtons les expressions comme « le pauvre » ou « la pauvre ». Même dite de manière affectueuse ou bienveillante, il n’y a aucune compassion derrière, c’est juste devenu une expression commune … comme une autre. Il y a d’autres expressions limitantes et quand nous y faisons attention qui ne sont pas réellement bienfaisantes. Les expressions ne sont que des pressions mises et qui sont dépassées ex…. pressions. Cessons avec ces expressions envers nous ou les autres et arrêtons de regarder dans l’assiette du voisin. Pensons correctement et évitons de nous exprimer de manière hâtive.
Ne nous freinons pas et ne freinons pas l’autre en lui mettant une ou des étiquettes.
Peut-être que tant que ce que nous avons pensé et ressenti n’est pas concrétisé, ne nous sentons pas obligé.e non plus de le dévoiler aux autres ?! Laissons les peurs et les pressions des autres à ce qu’elles sont : la vie des autres est l’avis des autres.
Cet avis leur appartient. Il peut certes nous aider dans notre cheminement et ne doit en aucune manière devenir notre manière de penser et de ressentir et encore moins nous dicter notre manière d’agir. Chaque être est unique, chacun.e a un rôle, un cheminement, une vision, une sensibilité qui lui appartient et qui fait de lui ou d’elle une merveille : la mère qui veille en nous. Ces racines, ces fondements basés sur la douceur, la profondeur, la chaleur et l’amour bienveillant envers nous-même (nous m’aime). La bienfaisance envers nous et les autres se créera dès que nous serons maître de nos pensées et de notre ressenti bien alignés, dès que nous serons dans notre verticalité.
Oust donc aux étiquettes, oust aux expressions, oust à l’avis des autres et sur les autres. Créons notre vie, nos moments présents en étant bienveillant.e envers nos pensées et nos émotions pour la réaliser et la concrétiser de manière bienfaisante.
Arrêtons d’avoir peur d’être étranges aux yeux des autres et soyons des êtres anges dans notre réalité.
NAMASTE.
Article :
Fonctionnement
Fonctionnement : sur quel.s mode.s fonctionnons-nous ?
Fonctionnons nous pour « faire » : être sans cesse en action afin de ne pas se poser et se poser des questions sur nous ?
Fonctionnons nous pour « plaire » : être sans cesse dans la reconnaissance et l’approbation pour recevoir un peu d’amour ?
L’action est importante dans la vie et se poser pour réfléchir au «comment faire », au « comment agir » dans certaines situations est essentiel.
Nous vivons comme des robots en accomplissant des tâches sans conscience simplement parce que ça devient une routine, une habitude, voire une obligation, une corvée.
Est-ce bien ? Est-ce mal ?
L’essentiel n’est pas de se juger, de se justifier ; l’essentiel est d’être, de devenir.
D’être conscient.e de notre fonctionnement, de notre manière d’agir liée à notre manière de réfléchir et de ressentir.
L’autre n’a pas le même fonctionnement dans l’action, la réflexion et le ressenti. Ceci ouvre à plein de potentiels (potes en ciel) dans soit l’amélioration de notre fonctionnement soit dans un changement dans notre manière d’agir, de réfléchir ou de ressentir. De beaux échanges, de beaux partages et de belles co-évolutions c’est la création de nos potentiels !
Tout ce que nous pensons, nous le créons dans la matière de manière plus ou moins immédiate.
Regardons aussi notre fonctionnement : est-il emprunt de bienveillance et de bienfaisance ou est-il simplement une répétition de mots, d’expressions, de gestes ?
La bienveillance envers nous-même entraine la bienfaisance dans nos actions : nous agissons comme nous voudrions que les autres agissent à notre place. C’est notre fonctionnement et n’oublions pas que ce n’est pas celui de l’autre nécessairement. L’autre agira peut-être différemment en fonction de son degré de bienveillance vis-à-vis de lui et des autres également, et, sa bienfaisance ne sera donc pas celle que nous espérions … que nous attendions.
Demander à l’autre d’avoir le même fonctionnement c’est comme demander à toutes les fleurs de grandir, de sentir et de s’épanouir de la même manière, au même moment. Ce n’est simplement pas possible.
Essayons simplement de faire, de dire les choses en conscience : alignez sur notre mental et notre émotionnel en équilibre.
Cessons de vouloir contrôler l’autre, le modeler, le transformer selon nos codes, nos croyances, nos vérités.
Tout est en perpétuelle évolution et tout est en perpétuel changement.
Autorisons-nous d’évoluer et de changer à notre rythme pour voir d’autres fonctionnements en nous et en l’autre.
Remercions les autres pour nous montrer cette évolution, ces potentiels qui feront grandir en nous notre bienveillance et par conséquent notre bienfaisance.
NAMASTE.
Méditation-relation du mois de mai : oui et non oui… mai
Article
Cheminement
Cheminement plutôt que « gros travail » ou « je vais travailler sur moi… une partie de moi ».
Ce mot cheminement je l’aime et j’aime le faire surtout.
Ce cheminement n’est pas simplement une remise en question de chaque instant, une évolution permanente, des choix à faire et d’autres chemins à prendre. Le cheminement est une voie vers l’équilibre, un rapport à l’autre moins émotionnel ou moins mental.
Le cheminement est certes une voie d’évolution spirituelle mais pas que.
C’est répondre, avec le recul, le lâcher prise et la conscience du moment à des questions qu’une situation ou que « l’autre » nous suggère d’explorer : des paroles, des silences, des actes, des actes ou de la passivité.
Ce cheminement permet d’aller chercher la force en soi ; cette force non pas physique et singulièrement masculine mais la vraie force, la force tranquille tout en subtilité, en douceur, en respect et en profondeur.
Cette force qui est un moteur extraordinaire.
Cette force qui fait appel à la bienveillance (qualité féminine, de la femme et la mère en chacun) et qui permet la bienfaisance (qualité masculine, de l’homme accompli et du père protection en chacun également).
C’est cette conjugaison de la bienveillance qui fait que la bienfaisance peut être et fait également que nous cheminons et que nous ne faisons pas « un gros travail sur nous » ou que « nous ne travaillons pas sur telle ou telle problématique ».
Il n’y a pas de gros travail, il n’y a pas non plus de problématique.
Ce « gros travail » est souvent la mise en lumière d’un événement ancré profondément en nous et qui nous semble, selon notre passé, nos expériences, nos souvenirs, nos compréhensions et notre état de conscience, une avancée énorme et qui nous a donné tant d’efforts pour arriver à cet état de conscience un peu plus élevé. C’est juste que notre inconscient s’est mis en lumière et que nous avons autorisé une part sombre à voir son côté lumineux. Souvent nous nous sentons même obligé.e d’en faire des tonnes, de revenir sur ce souvenir (sous venir) tellement douloureux et nous l’ancrons encore un peu plus dans notre corps physique par des mots qui se transforment en maux. Cette révélation, cet état de conscience sur un fait du passé, remercions-le simplement, libérons-nous en l’acceptant et en acceptant surtout qu’il fait partie du passé parfait qui fait de nous ce que nous voulons devenir et sommes prêt.e à devenir. Le chemin que nous voulons emprunter, la nouvelle porte que nous désirons ouvrir est là et ce n’est pas un gros travail que d’ouvrir une porte ça demande juste une envie, du courage si besoin de mettre la clé dans la serrure (de préférence dans la bonne serrure) et de pouvoir mettre un mot, de pouvoir libérer une partie de notre inconscient sur cette porte et la compréhension qui se trouve derrière ou, en imagé, de la pierre sur notre chemin qui peut juste être le grain de sable dans notre chaussure ou le rocher à contourner ou à escalader.
Il n’y a pas de problématique, il y a une solution, un éclairage à mettre sur une partie inconsciente.
Nous pouvons le faire de manière simple en étant bienveillant avec nous et notre entourage et en agissant avec bienfaisance envers nous et notre entourage ou décider que c’est difficile, que ça va nous faire souffrir, voire que c’est insupportable. Pourquoi devoir supporter quelque chose qui fera partie du passé demain ? Pourquoi s’infliger de porter et s’autoflageller ?
Décidons simplement de cheminer, de découvrir nos trésors et de remercier la vie, les personnes autour de nous qui sont là sur notre chemin pour un temps long ou court tout comme nous sommes là sur leur chemin pour un temps long ou court.
Faisons de ce chemin une aventure remplie de bienveillance et de bienfaisance pour nous et pour les uns et les autres ! Le chemin de l’amour inconditionnel de la mère et du père en nous.
NAMASTE.
Pic by @Juliehappyngood
Article
Le héros
Le héros… cette part d’amour en nous !
Eros, dieu de l’Amour, ce héros en nous… qu’en faisons-nous ?
Ce héros de tous les temps, quelle place nous lui accordons nous dans notre vie ?
Notre héros qui est-il pour nous ? Un personnage fictif, imaginaire, tout droit sorti d’un roman, d’une série ou d’un film ? Une personne que nous connaissons et que nous admirons, que nous pouvons jalouser, que nous pouvons envier ? Sommes-nous un héros caché derrière un écran vivant dans un monde virtuel ? Ce héros est-il nous parfois ou voulons nous être un héros réellement ?
Si nous voyons le héros comme la part d’amour en nous et si cette part nous la connaissons, nous la développons,… si nous nous aimons : tous nos gestes, tous nos mots sont des héros. Ces gestes et ces mots sont des héros d’abord pour nous : nous nous accordons le meilleur : l’amour. Ces gestes et ces mots nous font apparaître comme un héros pour l’autre… les autres.
Nous avons donc tout à gagner à faire sortir le héros en nous, ne pensez-vous pas ?
Qu’est-ce qui nous en empêche ? Notre passé ? Des peurs ? Des blessures ? Notre enfant intérieur ?
Si nous prenons la vie comme un éternel combat, comme des occasions de souffrir, il est certain qu’être et devenir le héros de notre vie est une tâche bien difficile et… comme nous pensons de cette manière c’est certain que nous attirons les situations et les personnes qui nous la ferons voir et vivre de cette manière. Toute expérience a un côté positif et un côté négatif. Lequel choisir pour arriver à exprimer le héros en nous ?
C’est pas facile pour certains.es et c’est une évidence pour d’autre.s.
Ce « pas facile » (pas fa si il) est le pas que nous ne posons pas car notre vie est sillonnée et parsemée de « si » et de « mais ».
Emettons-nous la bonne pensée pour que ce pas soit facile ? Sommes-nous toujours caché.e derrière une pensée ou une émotion négative ? Laissons-nous être envahi.e par des personnes, des expériences dont nous n’avons pas réellement envie et qui nous permettent, au final, de rester dans ce « pas facile » ?
Quand nous mettons notre courage en action, notre héros sort de sa grotte et nous sommes prêt.e à vivre des expériences, à rencontrer des personnes avec un cœur et un esprit ouvert. Nous ne nous limitons pas, nous ne nous enfermons pas, nous ne faisons pas de nous des prisonniers.ères de la vie : nous prenons notre destin en main et faisons des pas. Il y aura des passages (pas sages). Il y aura aussi des pauses. Il y aura surtout de la magie (l’âme agit).
Osons faire sortir le héros qui sommeille en nous, osons vivre avec Eros comme compagnon de route : l’amour sur notre chemin fera que celui-ci nous apportera la joie et la paix et que dès lors nous serons le héros de notre vie et nous serons entouré.e d’autres héros ! Pour cela il nous suffit juste de regarder notre passé, nos peurs, nos blessures, notre enfant intérieur et d’accepter que nous avons des faiblesses tout comme nous avons des points forts ; que la force qui est en nous est à la fois tranquille et peut, si nécessaire, être violente. Que la bienveillance et la bienfaisance sont notre nature complète et en complétude ! Que la clé est l’équilibre entre notre polarité féminine et notre polarité masculine : cette alchimie parfaite des deux visages de la force qui fait de nous un héros des temps modernes dans cette société que nous créons à notre image.
NAMASTE.
Pic by Suzy Ordiales
Article
Les sens : l’essence
Voir le beau en nous et autour de nous c’est voir, avant tout, la beauté, l’essence de l’âme. C’est faire fonctionner le sens de la vue. C’est aussi activer son troisième œil, notre vision interne sur tous les possibles.
Voir le beau s’est se mettre en mode positif, en communion (un comme union) avec ce qui nous entoure. C’est se mettre en résonnance (la raison n’a rien à voir ici) et accueillir notre essence, notre nature, la nature. Etre présent.
Toucher, être touché.e.
C’est s’accorder de l’estime, se donner une valeur, se respecter et se faire respecter, s’aimer et pouvoir être aimé.e en retour. Le toucher est le premier sens activé avec « l’autre ». Le premier contact physique se fait avec les mains, les mains qui accueillent, les mains qui vont protéger, les mains qui vont soigner, les mains qui vont aimer. Aimez-vous toucher et aimez-vous être touché.e ? Nous pouvons nous poser la question de savoir si ce premier contact a été celui d’un accueil dans toute la bienveillance et toute la bienfaisance dont nous avons eu besoin et… probablement dont nous avons toujours besoin. Ce contact, ce toucher est déterminant pour notre relation à nous et… nos relations aux autres. Accueillir ce qui se passe, accueillir ce qui s’est passé, accueillir ce qui arrivera. Etre en confiance.
Entendons-nous, écoutons-nous ?
Entendre des choses, des bruits c’est s’éveiller à l’extérieur, c’est une autre prise de contact. Avez-vous tenté l’expérience de boucher vos oreilles ? Vous pouvez entendre la mer ou si vos orifices sont totalement bouchés vous pouvez entendre vos organes. C’est une bonne manière de se relier… de s’écouter.
Ecouter l’autre c’est porter son attention sur les mots et les gestes et c’est laisser à l’autre son espace d’expression, c’est le laisser jouer sa musique.
L’ouie c’est accueillir nos sons, notre harmonique et c’est s’autoriser à jouer une musique intérieure; notre harmonie. C’est, bien entendu, écouter la musique extérieure, l’harmonie de l’autre. C’est accueillir l’autre dans ses différences. Etre cohérent… co errant.
Sentir, ressentir…
Sentir la nature, ses parfums. Sentir… ce verbe qui évoque plusieurs sens. L’odorat aurait donc plusieurs sens ?
Sentir et ressentir c’est mettre notre mental et notre émotionnel en mouvement, en résonnance. C’est accueillir des sensations, des émotions, des images, des pensées. Etre en relation.
Goûter. Goûter aux plaisirs de la vie.
Le goût est un sens qui nous rapproche et nous éloigne de l’autre.
Nous n’avons pas les mêmes goûts et nos goûts peuvent changer d’un moment à l’autre.
Le goût serait-il le sens des choix, des possibles à changer ? Le goût serait-il les sens… l’essence à lui tout seul ? Accueillons nos goûts et apprenons de nos dégoûts. Etre en équilibre.
Voyons quel sens est le plus important pour nous ? Observons notre manière de parler : utilisons nous des expressions telles que : « j’entends ce que tu dis », « je vois ce que tu veux dire », « je le sens pas celui-là »…. Cela nous en dira un peu plus sur quel sens prend le « dessus », quel sens est éveillé et ce qu’il réveille et, également, ce que nous avons envie d’accueillir et… d’être.
Les sens sont l’essence de qui nous sommes et qui nous devenons en conscience ! Connaissons-nous pour co-naître et reconnaître notre essence !
NAMASTE.
Méditation du mois d’avril : les mots et non les maux !
Article :
Ecran
Ecran : que ce soit derrière la télévision, l’ordinateur, la tablette ou le portable, que ce soit derrière quelqu’un, grâce à la cigarette ou à l’alcool; nous vivons trop souvent derrière un écran.
Le monde réel devient une illusion, une peur parfois et seul le virtuel prend une place voire prend la place centrale de nos vies.
Où est la réalité, où est le concret, où est le solide, où est la matière ?
Je ne parlerai pas de vérité, chacun a la sienne et… ça lui appartient.
L’écran est un moyen de mettre quelque chose entre nous et l’autre, entre nous et nos perceptions, entre nous et nos sens, entre nous et une certaine réalité, entre nous et du palpable.
Je prends un exemple : nous partons dans la nature et hop nous dégainons notre portable pour « capturer » un paysage, un moment. Ce paysage, ce moment prenons-nous le temps de le sentir, le ressentir, de le vivre?
Prenons-nous le temps de mettre nos sens en éveil ou voulons-nous simplement « capturer », mettre en cage en quelque sorte pour ne pas partager et pour simplement posséder ?
Vous allez me dire que nous partageons en mettant sur les réseaux sociaux, en envoyant la photo.
Peut-on vraiment dire qu’il y a un partage ? La plupart du temps nous « améliorons » nos photos en y ajoutant des filtres (encore un écran) pour camoufler la réalité ? pour enjoliver quelque chose ? ne serait-ce simplement pas une manière de mentir, de se mentir et de pas vouloir être dans l’instant présent ? est-ce une manière de contrôler ou d’avoir un contrôle sur l’autre (ses réactions positives ou négatives, le faire réagir comme on voudrait bien évidemment) ?
L’écran peut être donc l’écran de la télévision qui coupe la communication avec l’autre et… les autres, qui nous abrutit d’informations réelles ou complètement fausses ; l’écran de télévision qui est devenu tellement grand dans nos espaces de vie que ça en devient un objet qui prend la place sur notre espace de vie et sur notre vie.
Les écrans d’ordi ou de tablettes ou de téléphones portables sont ce que nous regardons certainement plus souvent que les personnes qui sont autour de nous. Nous préférons nous « cacher » derrière ces écrans, vivre dans un monde virtuel que de regarder l’autre, lui parler, l’écouter… que de communiquer en direct.
J’en viens au premier sens, pour moi, le sens du toucher. Vous allez me dire les écrans sont maintenant tactiles donc ce sens est « utilisé ». Je vous réponds : quelle(s) sensation(s) vous procure(nt) le fait de toucher un bébé ? Avez-vous la même sensation quand vous touchez l’écran ? La réponse ne peut être que « non » : le bébé est en vie, l’écran n’a pas de vie, n’a pas d’émotions et ne procure donc pas d’émotion par son toucher. Les émotions qui peuvent surgir le sont par des images et les images sont le reflet d’une réalité où il y a certes la vue, comme sens, qui est en action mais aucunement l’ouie, l’odorat, le toucher.
Alors nos écrans, pensons-nous de temps en temps à les lâcher et permettons-nous de vivre dans la vraie vie pour mettre tous nos sens en émois ?
Le virtuel est bâti sur des fantasmes, sur des projections et n’est pas une réalité qui pourrait se créer. C’est quelque chose qui est entre nous et la réalité, c’est quelque chose qui nous empêche d’être nous-même face aux autres et souvent parce que notre confiance n’est pas suffisante, nos peurs, nos blessures se réveillent. Parce que, simplement, nous ne nous aimons pas tel.le que nous sommes et tel.le que nous devenons !
Ayons le cran de lâcher nos écrans !
NAMASTE.
Méditation du mois de mars : visons plus haut : cliquez sur le lien ci-dessous
Article :
L’autre.
L’autre… notre miroir.
L’autre qui peut tant nous apprendre sur nous-même.
L’autre…
Pourquoi vouloir voir chez l’autre ce que l’on ne voit pas chez nous ?
Pourquoi vouloir que l’autre pense comme nous ?
Pourquoi vouloir de l’autre qu’il agisse comme nous ?
Nous avons tous et toutes des valeurs, des croyances.
Nos bases ne sont pas les mêmes :
- notre éducation est différente, nos familles sont différentes : enfant unique, famille nombreuse, jumeau-jumelle et nos parents
- notre culture
- nos expériences
- notre niveau de conscience…
Souvent quand nous avons des affinités, nous pensons que l’autre pense comme nous ; que l’autre soit une nouvelle connaissance ou une nouvelle personne qui partage notre vie. Parfois nous sommes même persuadé.e que l’autre va agir comme nous aurions agi.
Nous laissons parfois soit notre mental parler pour nous, soit nos émotions s’exprimer.
Le mental c’est le « soi-disant » adulte en nous qui croit avoir tout compris et tout vécu dans la vie, qui se pose en donneur de leçon, qui est dans l’ego.
Les émotions sur-exprimées c’est l’enfant blessé qui parle et qui n’a pas le bon sens nécessaire à voir la situation telle qu’elle est.
Chacun a sa vérité et vouloir imposer sa vérité à l’autre c’est vouloir le changer, vouloir de lui ce qu’il n’est pas prêt à donner, vouloir de lui ce que nous ne nous accordons probablement pas.
La relation à l’autre dépend de tellement de facteurs et de paramètres différents qu’il semble parfois difficile d’être en relation simplement.
Accorder à l’autre la liberté d’agir, de dire et de penser comme il le fait habituellement c’est accepter que l’autre est différent et qu’il peut nous faire voir un autre point de vue, une autre manière d’agir et une autre manière de réagir.
Bien sûr il ne faut pas agir ou réagir pour plaire à l’autre, pour que la relation semble harmonieuse. Il est préférable de s’exprimer avec notre vérité sans vouloir imposer notre point de vue. C’est dans le partage, la communication qu’on arrive à la communion.
Ne pas penser, ne pas agir et ne pas réagir comme l’autre donne à la relation des possibilités d’évolution pour chacun. Si la communication existe, si le respect pour soi et pour l’autre sont présents, tous les possibles peuvent se passer.
Nous autorisons nous à voir autrement ? Nous autorisons nous à communiquer « vrai » ?
Utilisons-nous le reflet que l’autre nous offre pour mettre nos zones d’ombre en équilibre ?
Acceptons-nous une autre vérité ou une autre possibilité, une autre vision de la vie ?
Nous pouvons tous et toutes comprendre les choses, les événements de manières différentes. Déjà à cause de facteurs différents :
- Etre un homme ou une femme ; les hommes sont dans l’action, le « ici et maintenant », les femmes sont dans la passivité, le passé ;
- Etre dans sa polarité masculine ou dans sa polarité féminine en tant que femme ou en tant qu’homme et inversement (certaines femmes sont en mode « yang » et certains hommes sont en mode « yin ») ;
- L’âge : un adolescent n’a pas la même vision de la vie qu’une personne de 30 ans ;
- Le passé… fait d’expériences, de leçons apprises ou de peurs récurrentes ;
- Et évidemment ce qui a déjà été cité ci-dessus : les croyances, les valeurs, l’éducation, etc…
Alors si nous étions dans les chaussures de l’autre réagirions-nous de la même manière que cette personne ?
L’autre : la personne qui nous permet de grandir, de prendre de la hauteur, de relativiser, de lâcher prise, de nous équilibrer.
Si nous parvenons à lui dire « merci » c’est que nous avons compris ce qu’elle a voulu mettre en équilibre chez nous et c’est une manière aussi d’évoluer car une peur s’est envolée, nous avons avancé, nous ne nous sommes pas tétanisé.e à cause de l’autre… du reflet de l’autre, nous n’avons pas laissé notre part d’ombre (notre saboteur), notre enfant intérieur réagir, nous avons pu communiquer vrai sans tabou, sans pression, sans manipulation et dans le respect et l’amour que nous nous portons à nous et pouvons donner à l’autre.
Alors osons dire « merci » à nous-même et à l’autre. Osons des relations vraies !
NAMASTE.
Méditation du mois de février : formons notre DUO : cliquez sur le lien ci-dessous
Article :
Le contrôle…
Pic by Spiritualité et bien être
Dans cette société où tout est verrouillé par des mots de passe et des codes, difficile de lâcher prise et… de ne rien contrôler.
Le contrôlant est souvent celui qui vit ou a vécu la blessure de trahison.
Du coup tout est sujet à « contrôle » dans sa vie par crainte d’être trahi.e à nouveau.
Je ne m’étendrai pas sur les 5 blessures d’âmes; Lise Bourbeau, la spécialiste les explique clairement.
Pouvons-nous facilement lâcher prise ou devons-nous constamment contrôler ?
Contrôler si un message a été reçu, s’il a été lu.
Contrôler en relisant tout et plusieurs fois.
Contrôler en se repassant le scénario en boucle.
Contrôler en se justifiant et en argumentant.
Contrôler en voulant avoir raison vis-à-vis de l’autre pour cacher nos faiblesses ou notre manque de confiance.
D’autres comportements de contrôle : parler tout le temps pour ne pas laisser notre esprit au repos, faire et non être dans l’accueil de ce que la vie peut nous apporter, vivre constamment la vie comme un combat ou une compétition, s’occuper de la vie des autres pour ne pas nous poser dans la nôtre.
Toutes ces manières d’agir, tout comme également le fait de faire des analyses médicales, sont un moyen de porter son attention sur quelque chose que nous croyons extérieur à nous. C’est n’avoir aucune confiance en soi : ses ressentis, ses pensées, son instinct, ses facultés, son pouvoir.
Oups le mot tellement controversé : POUVOIR. N’est-ce pas voir le pou ?… quelque chose de petit qui dérange ? Contrôler…
Le Pouvoir est aussi notre capacité d’accomplir les choses de manière bienveillante et bienfaisante pour nous, bien entendu, et, par conséquent, pour ceux qui nous entourent également. Ce pouvoir est un atout quand il est utilisé de cette manière. Comme toute chose a un côté pile et un côté face, un côté brillant, un côté mate, un coté visible et un côté invisible, le pouvoir est aussi un moyen de mettre l’équilibre entre « les deux côtés opposés ». Il est bien connu que pour arriver à un équilibre, plus ou moins parfait… et sans être dans le contrôle mais dans l’accomplissement bienveillant et bienfaisant, il faut avoir connu les extrêmes pour arriver à « la voie du milieu ».
Alors contrôler tout est une manière d’avoir du pouvoir… surtout sur l’autre.
Est-ce juste de vouloir contrôler l’autre alors que la plupart du temps nous ne nous connaissons simplement pas suffisamment ou nous jouons un rôle pour paraître ? Ne serait-ce pas plutôt une peur par manque de confiance en nous que nous projetons sur l’autre pour ne pas nous mettre en équilibre… pour ne pas nous remettre en question ?
Les projections sont nombreuses dans nos vies et le monde virtuel est un nid, une source constante de projections possibles. Simplement le fait de pouvoir voir à l’instant T si une personne a lu ou réagi à un post ou un message voire… si «bonheur » elle l’a commenté de manière positive bien évidemment. Nous devenons dépendant de l’autre, du regard qu’il nous porte et nous lui laissons notre pouvoir.
Tous ces moyens de « communication » sont des moyens virtuels et sont rarement le reflet de la vie ou des vérités ; ce sont des simples « posts » et rarement une réalité vécue en conscience. Ce monde virtuel nous pousse à contrôler notre apparence, notre manière d’écrire les choses, le moment de partager. Est-ce vraiment une manière de vivre équilibrée et équilibrante de dépendre de ces « contrôles »… de dépendre de cet univers ?
Personnellement je trouve que ça aboutit rarement à un équilibre, un lâcher prise ; c’est plutôt une masturbation mentale que quelque chose de serein et sain. C’est paraître et pas être.
Si nous rejoignons l’idée de Lise Bourbeau et de la blessure de trahison, c’est peut-être simplement parce que nous avons été trahi.e que nous agissons de la sorte. Ou alors c’est un manque de confiance et un ego qui veut prendre le « contrôle » de notre vie.
Peu importe la raison de notre contrôle sur tout et sur tout le monde, regardons ce que nous n’arrivons pas à contrôler en nous : une peur (de perdre, de manquer, de ne pas être à la hauteur, …), un manque de confiance, … un manque d’amour pour nous et qui nous devenons.
Laissons faire l’Univers, il sait mieux que nous.
Si nous avons bien pensé tout se placera de la meilleure manière pour nous et notre entourage avec toute la bienveillance et la bienfaisance émises.
NAMASTE
Pic by Spiritualité et bien être (post fb du 03/04/2019)
Méditation sur les 5 éléments : cliquez sur le lien ci-dessous.
Article :
Rien n’est acquis.
Dans ce monde où le matériel a plus d’importance que certaines valeurs, n’oublions pas que rien n’est acquis.
Tout est basé sur « avoir » et donc acquérir. Peu importe le moyen. La plupart du temps nous sommes (des additions…) dans :
- Acquérir des connaissances
- Acquérir une maison
- Acquérir un emploi
- Acquérir le bonheur
- Acquérir un réseau social
- Acquérir des biens matériels
- …
Tout cela peut sembler normal, grandissant, épanouissant.
Acquérir des connaissances, est-ce vraiment dans le sens de « co – naisssances », de vouloir faire renaître ce que nous connaissons au plus profond de nous ? De partager des moments avec une personne et s’apprendre et apprendre ?
Acquérir une maison, est-ce réellement vouloir y faire son nid; un cocon rempli de bienveillance et de bienfaisance ?
Acquérir un emploi, est-ce réellement vouloir exercer une profession d’une qualité que nous aimons développer, d’un don que nous avons et voulons partager ?
Acquérir le bonheur… qu’en est-il vraiment de la notion de bonheur ? est-ce vraiment la bonne heure à chaque moment de notre vie ou cherchons-nous sans cesse la bonne heure pour penser, faire, dire, agir ?
Acquérir un réseau social, est-ce vraiment important d’avoir X amis virtuels ? Si nous en sommes à vouloir agrandir le nombre de personnes de « notre réseau social », est-ce pour réellement les connaître… co-naître ou voir apparaître (à part être… mettre l’être à part) un nombre important, des chiffres alignés en correspondance avec les chiffres que l’on voudrait dans notre portefeuille ?
Acquérir des biens matériels, certes nous avons des besoins mais ne nous en créons pas aussi pour paraître (pour ne pas écrire « ne pas être ») ? N’est-ce pas simplement des envies qui nous donnent la croyance que nous existons ?
Pourtant rien n’est jamais acquis, tout peut nous échapper, tout peut s’envoler, tout peut s’écrouler, tout peut brûler !
Arrivons-nous dans ces cas de délestement à voir le positif de la situation ? Arrivons-nous à lâcher prise sur ce que nous avons « perdu » et… avons-nous perdu quelque chose ou gagner quelque chose au final ? Pensons-nous directement à reconstruire sur de nouvelles bases ? Apprenons-nous la leçon ou devrons-nous encore la revoir, la revivre pour avancer autrement ?
Tant que nous resterons dans nos mondes virtuels, tant que nous ne créerons pas notre propre réalité et nos propres valeurs nous serons éternellement en état de dépendance vis-à-vis du matériel et des personnes qui nous entourent.
Nous aurons toujours besoin de plus sans apprécier ce que nous avons déjà.
Tout est pourtant éphémère et nous nous attachons à tellement de choses qui deviennent rapidement obsolètes. Avons-nous peur de quelques choses… en nous qui résonnent ou se matérialisent autour de nous ?
Pourquoi n’essayons-nous pas de grandir autrement… d’acquérir autre chose ?
Et, de quelle manière voulons-nous acquérir les nouvelles choses ?
Voulons-nous toujours rester derrière nos anciennes peurs et rester immobile ?
Voulons-nous toujours nous « battre » et donc détruire un peu de l’autre ?
Voulons-nous utiliser notre force tranquille, notre douceur pour créer d’autres valeurs ?
N’oublions pas nos bases qui sont faites
- de la terre, de ses profondeurs et des racines qui y accèdent, de cette source nourricière bienveillante, douce et chaleureuse,
- et du soleil, de son rayonnement et des liens, des antennes qui nous relient, de sa protection, de ses connaissances, de cette source de chaleur bienfaisante.
Cette reliance est, pour moi, l’essentiel (l’essence ciel), la valeur, la base sur laquelle tout peut être posé et se reposer ; tout le reste c’est du superflu, c’est du matériel qui peut, à tout instant, disparaître.
Alors laissons-nous renaître, co-naître des moments de joie, de douceur et avoir des envies simples pour être en vie et remercions pour ce cadeau, ce présent de chaque instant sans rester attaché.e à un passé parfait et un avenir qui le deviendra !
NAMASTE.
Méditation – relaxation du mois de décembre : allumons nos lumières ! Cliquez sur le lien ci-dessous.
Article :
Le regard.
Il est dit que les yeux sont le miroir de l’âme.
Qu’en est-il du regard ?
Est-il le reflet de ce que notre âme veut exprimer ?
Est-il le reflet de ce que notre cœur veut ressentir ou ressent ?
Est-il le reflet de nos pensées du moment ?
Plongeons-nous notre regard sur les choses, sur les personnes et sur nous-même ?
Je remarque, en tant que femme, et en ces jours où des envies de porter des vêtements plus légers, que certains regards me dérangent.
Je suis une femme, et non une féministe, cependant certains regards masculins se portent d’une manière que je ressens comme intrusive, irrespectueuse, violente même, sur des parties de mon corps. Certain.es diront que je devrais en être flattée. D’autres diront que je le fais dans une intention et que je n’ai qu’à assumer. D’autres encore penseront qu’il n’y a pas de mal à regarder. Chacun étant libre, j’accepte bien évidemment.
Cependant, porter des tenues légères ne veut pas dire que nous sommes « légères » et prêtes à nous « offrir » au premier venu.
Porter des tenues légères n’est pas non plus une manière de vouloir nous dévoiler par de la transparence ou des longueurs raccourcies.
Mes tenues sont portées en fonction de la météo, de mon humeur matinale et rarement pour plaire à l’autre.
Le regard que nous portons sur nous en dit souvent long sur notre état d’esprit du moment.
Vous me direz, pourquoi se sentir scrutée, manquée de respect voire « violée » par le simple regard mal interprété (ou du mâle interprété ?) ?
Simplement parce que je ne suis pas un objet, que j’ai des ressentis, que je peux penser, que j’ai le droit de m’exprimer et que j’agis.
Fermons cette parenthèse et je remercie le regard porté sur moi ce matin qui m’inspire ce texte.
Le regard que nous portons sur l’autre est-il emprunt d’autant de sincérité que nous le voudrions ?
Le regard que nous portons sur l’autre reflète-t-il les émotions qui nous parcourent ?
Le regard que nous portons sur l’autre exprime-t-il ce que nous pensons ?
Il a toutes sortes de regards :
- Des regards francs : yeux dans les yeux
- Des regards souriants : ceux qui redonnent de l’espoir
- Des regards compatissants : ceux qui expriment le soutien
- Des regards de pitiés : ceux qui jugent
- Des regards amoureux : des cœurs qui s’expriment
- Des regards de côté : la suspicion ou le recul
- Des regards absents : l’âme est-elle vraiment présente ?
- …
Avez-vous fait l’exercice suivant : vous regarder dans le miroir et en vous complimentant (je suis beau-belle, je m’aime, je suis heureux-se…) ? Cet exercice est révélateur de la présence que nous pouvons avoir, de l’implication de notre regard. Le regard devient alors une expression de ce que nous voulons exprimer comme émotion, comme pensée.
La manière dont nous posons notre regard fait toute la différence entre un regard « faux » et un regard « sincère ».
J’en reviens au regard que nous posons sur nous-même. Regardons-nous aussi profondément en nous que nous le pensons, que nous le désirons, que nous le souhaitons ? et… regardons-nous ou osons-nous regarder la personne en face de nous de cette manière sans déranger une partie d’elle-même autant que nous nous dérangeons nous-même ?
La profondeur du regard donne le ton d’un début de communication. Le regard est peut-être simplement la concrétisation d’une communication établie entre deux âmes ?
Osons regarder de manières différentes, sous d’autres angles
Osons regarder l’autre de différentes façons en fonction de ce que nous pensons, nous ressentons.
Laissons notre âme agir, la magie opérer (l’âme agit) !
NAMASTE
Relaxation guidée du mois de novembre : relaxons notre corps !
Article :
Le dos !
Tourner le dos.
Courber le dos.
En avoir plein le dos.
Faire le gros dos.
Des expressions bien connues qui expriment des émotions, un état d’être…
Tourner le dos à certaines choses ou à certaines personnes c’est un acte courageux. C’est aussi un moment de conscience que notre passé est parfait, que nous pouvons nous poser et regarder l’avenir.
C’est savoir dire merci à ces choses et ces personnes pour pouvoir être en paix.
Courber le dos devant quelqu’un c’est un acte d’humilité ou de déférence. Ca peut aussi être un acte de faiblesse, de peur ou également d’acceptation.
En avoir plein le dos c’est déposer les armes et prendre le temps de se poser pour faire le point.
Faire le gros dos c’est refuser certaines choses et se protéger pour ne pas se sentir atteint.e, pour protéger son intérieur et son cœur.
Ce dos nous protège de notre passé parfait. Ce dos protège nos organes internes dont notre cœur.
Ce dos c’est le tronc de notre arbre, c’est en lui que coule et circule notre énergie de vie.
Il a de belles racines et de jolies branches dirigées vers le ciel. Des fleurs ou des fruits arrivent au moment opportun si cet arbre est bien entretenu : cultivé, nourri, élagué.
En prenons-nous vraiment soin ?
Savons-nous tourner le dos à certaines choses ou à certaines personnes ?
Savons-nous courber le dos ?
En avons-nous parfois plein le dos et prenons nous du temps pour nous poser ?
Faisons-nous parfois le gros dos ?
A certains moments de notre vie nous devons faire de notre dos un allié, lui donner ce rôle de protecteur de nos organes, dont notre cœur.
Lui donner sa place de pilier dans notre vie pour ne pas devoir avoir une canne, qu’elle soit un bâton ou une personne. Ce dos nous devons lui permettre de s’exprimer pour qu’il puisse se libérer de poids trop lourds que ce soit des personnes ou des situations. Ce dos est un baromètre de nos états d’âmes, de nos émotions.
Certains endroits douloureux de notre dos peuvent nous indiquer où nous en sommes, ce qui nous perturbent et vers quoi nous pouvons aller.
Notre dos est ce mur entre l’hier et le demain, cette puissance que nous lui accordons en veillant à sa verticalité. Il est aussi le lien entre nos jambes, nos bras et notre tête… notre tronc.
Si nous décidons de tourner le dos,
Si nous décidons de rester dans le « j’en ai plein le dos » sans nous poser,
Si nous décidons de courber le dos,
Si nous décidons de faire le gros dos,
Pensons bien pour agir bien pour lui et pas par égoïsme, par égotisme ou encore en laissant l’enfant en nous s’exprimer… exprimer des peurs, des manques qui appartiennent au passé.
Le passé étant parfait ce dos nous rappelle que devant nous il y a tout ce que nous décidons de voir, de penser, de créer et d’expérimenter pour devoir peut-être à nouveau tourner le dos, en avoir plein le dos, courber le dos ou faire le gros dos.
La vie est faite d’expériences, d’expérimentations et l’autre est notre plus beau reflet pour mettre de l’équilibre, pour garder notre verticalité et ne pas tomber dans le négatif mais rester un plus pour nous et pour ceux qui nous entourent.
Veillons à ce que veut exprimer notre dos pour continuer à avancer, pour cheminer sans avoir l’impression que nous avons déjà fait un gros travail. Soyons conscient que le cheminement que nous avons se fait à un rythme qui est le nôtre et que les autres sont justes des panneaux qui nous montrent quelle direction est possible. Ces panneaux peuvent être suivis pendant un certain temps, nous accompagner sur ce chemin et peuvent, à tout moment, disparaître pour faire place à d’autres panneaux, d’autres indicateurs, d’autres connexions, d’autres expérimentations.
Remercions simplement tous ces panneaux qui font que notre dos peut faire vibrer en lui notre énergie vitale, nos « en vie s ».
NAMASTE.
Méditation du mois d’octobre : 10/10 et unité !
Article
Equilibre.
Pic By @Suzy Ordiales
Equilibre entre le haut et le bas.
Equilibre entre la droite et la gauche.
Equilibre sur tous les plans…
Sommes-nous en équilibre ?
L’équilibre entre le haut et le bas c’est avoir une belle connexion avec tout ce qui est « supérieur » à nous, des « forces » plus hautes, plus puissantes : nos potentiels (potes en ciel) et nos essentiels (essence ciel).
Le haut est, pour moi, le contact avec la spiritualité que j’appelle l’Univers. C’est la connexion avec le Soleil central, source de protection, de chaleur, de bienfaisance, de connaissance.
Le bas est, pour moi, le contact avec la matière que j’appelle la 3ième dimension. C’est la connexion avec la Terre, source de nourriture, de douceur, de bienveillance, de profondeur.
Quand la connexion est aussi bonne vers le haut que vers le bas, quand nos racines sont aussi ancrées que nos antennes sont déployées, nous sommes dans notre verticalité, dans l’équilibre du bas et du haut.
Si une des connexions manque ou si une connexion est plus importante que l’autre, l’équilibre ne peut se faire et la jonction, au niveau du cœur ; le lien au point vital n’est pas réalisé, n’est pas en harmonie et notre cœur ne peut rayonner : l’amour ne circule pas bien.
L’équilibre entre la droite et la gauche c’est l’équilibre entre notre polarité masculine et notre polarité féminine.
La part masculine s’exprime par l’action, la connaissance, la force, la légèreté ; l’avenir.
La part féminine s’exprime elle par la passivité, la sagesse, la douceur, la profondeur ; le passé.
Le côté droit est donc le côté masculin et le côté gauche est le côté féminin.
Quand ces deux côtés sont en communion (un comme union) une ligne horizontale peut être tracée ; la balance est en parfait équilibre entre le donner et le recevoir.
Quand le vertical et l’horizon sont créés ils forment un + ; le négatif ( – ) devient par la ligne vertical, celle reliance à quelque chose de plus grand, un plus ( + ).
Quand une personne est peu dans sa verticalité il est souvent difficile de la côtoyer ; elle pompe notre énergie positive ; elle n’est pas un + dans notre vie, elle est un -. Elle n’est pas en équilibre, elle n’est pas centrée. Quand une personne est peu dans son horizontalité, il lui manque ses racines. Elle est perchée et peu consciente de la réalité et des réalités de la vie terrestre… de la 3 D.
Nous ne pouvons pas être uniquement dans notre verticalité ni dans être dans notre horizontalité car le point qui réunit ces deux axes est notre centre, notre cœur d’où tout part. Et puis… nous sommes des êtres incarnés, fait de chair, de matière… pas des anges.
Etre « le vertical de l’autre » ou « l’horizontal de l’autre » ne fera pas de deux êtres deux plus ; soyons des plus pour attirer des plus et remercions les moins qui nous font évoluer.
L’équilibre des plans c’est l’équilibre de l’harmonie des 7 chakras les plus connus.
Notre corps vibre sur plusieurs plans à la fois.
Le premier chakra, de couleur, rouge, est nos racines, notre profondeur, notre base.
Le second chakra, de couleur, orange, est le chakra dit sacré, le « nous et l’autre ».
Le troisième chakra, de couleur, jaune, est notre soleil intérieur, notre confiance.
Le quatrième chakra, tantôt rose, tantôt vert, est le centre de l’Amour qui rayonne, il est le centre de la guérison.
Le cinquième chakra, de couleur bleu, est le centre de la communication : le verbe qui se fait chair.
Le sixième chakra, de couleur indigo, est le troisième œil, le centre de tous les possibles que nous décidons de regarder et auxquels nous nous ouvrons.
Le 7ième chakra, tantôt d’un blanc lumineux, tantôt de couleur violette, est le chakra coronal, notre connexion au plus haut, à la spiritualité.
Pour que nous soyons en équilibre sur tous les plans, nous devons faire en sorte que nos 7 chakras soient en harmonie, soient harmonieusement lumineux. Nous pouvons les travailler en fonction du plan que nous voulons mettre en équilibre dans cette dimension (nos racines, notre relation à l’autre, notre confiance, notre amour-rayonnement, notre communication, notre vision interne et expansée, notre spiritualité). Nous pouvons utiliser les couleurs de chaque chakra et les rendre de plus en plus lumineuses. Nous pouvons aussi faire appel à un autre chakra pour mettre l’harmonie sur un plan avec l’aide d’un « atout », d’un joker. Par exemple pour mettre en harmonie notre rapport à l’autre, pourquoi ne pas utiliser notre communication ou la communication ? Nous pouvons aussi les faire résonner avec leur musique, leur note, leur son.
Tous les moyens sont bons pour jouer notre harmonie intérieure et, ainsi, composer la musique de notre vie.
NAMASTE.
Méditation du mois de septembre : le 9, les rentrées, le renouveau, les naissances !
Réflexion…
Je suis…
je suis allergique,
je suis timide,
je suis en couple,
je suis asthmatique,
je suis intolérant.e,
je suis gros.se,
je suis ???
qui suis-je ? de qui ai-je besoin pour m’identifier, me présenter ?
Je suis tout et j’ai tout.
Oserais-je me présenter de la sorte ?
Je dirai peut-être :
j’ai une belle maison,
j’ai fait des études universitaires,
j’ai un job sympa,
j’ai des kilos à gagner,
j’ai mal à la tête,
j’ai des ami.es
j’ai ???
Devons-nous nous réduire à être une maladie, une émotion, une appartenance sociale et à avoir des biens matériels, une importance ou donner une importance ?
Ne sommes-nous pas tout ?
Pourquoi nous limitons-nous à des mots et pourquoi surtout nous présentons-nous avec nos complexes, nos « handicaps », nos maux, notre portefeuille, notre statut ?
Avez-vous remarqué que lorsqu’on vous pose la question : qui es-tu ?
La réponse est rarement je suis tout et j’ai tout. La réponse est, selon les circonstances et la personne qui nous la pose : « je suis ceci » ou « je suis cela ». Il en est de même pour le verbe avoir : qu’as-tu ?
Là, également, la réponse peut se résumer parfois à une maladie, à un bien purement matériel, à une position sociale…
Je suis… devons-nous suivre quelqu’un pour nous sentir ETRE ?
Dans quel rôle ou dans quelle position nous enfermons-nous : l’enfant trop gâté ou se sentant mal aimé, l’adolescent protestataire en quête de liberté, l’adulte avec son égo ou le parent responsable ?
Quelle blessure, quelle part d’ombre livrons-nous aux autres en nous résumant à un adjectif ?
Sommes-nous la victime, le sauveur ou le bourreau ?
Quand nous adoptons un rôle ou, quand nous ne vivons qu’à travers nos blessures ou nos parts d’ombre, nous attirons les autres dans un cercle qui est loin d’être vertueux. Nous nous jugeons et donc nous jugeons ceux qui nous entourent et… nous les incitons, par l’effet miroir, à nous imposer ce que nous ne voulons pas abandonner. Ne serait-ce donc pas le moment de mettre tout en équilibre, de lâcher le rôle et le costume étriqué qui nous encombrent ?
Nous ne sommes simplement pas dans l’instant présent et vivant tout comme un cadeau qui nous est offert (et un cadeau non mûrement demandé et attendu). Nous attendons, nous n’accueillons rien car nous voulons être un adjectif ou avoir quelque chose.
Alors quand les questions : qui es-tu ? ou qu’as-tu ? nous seront posées, réfléchissons à ce que nous allons dire ou, regardons, en spectateur, ce que nous sommes et qui nous voulons être à ce moment précis.
Le « suis » qui veut un autre pour le conduire ?
Le « suis » qui se limite ?
Le « suis » qui s’identifie ?
Il en est de même pour la question : qu’as-tu ?
As-tu une maladie ?
As-tu un problème ?
As-tu des biens matériels ?
As-tu une position sociale ?
Nos réponses font de nous qui nous sommes à l’instant présent. Elles font de nous ce que nous devons mettre en équilibre et non pas ce que nous nourrissons en ancrant sans cesse des mots qui deviennent inévitablement des maux.
Posons-nous, un instant, pour savoir qui nous sommes, ce que nous avons, ce que nous devenons et remercions déjà d’être en VIE.
Et puis c’est le printemps et trions pour y voir clair en nous et tout autour.
Namaste
Pic by Suzy Ordiales
Article
Malentendu… mal entendu.
Malentendu… mal entendu.
Nous avons tous et toutes été, un jour, dans cette situation où nous avons cru avoir entendu quelque chose ou que quelqu’un ait dit quelque chose.
Le malentendu est un mal entendu, un mal compris de celui qui l’a émis et de celui qui l’a reçu.
Mal entendu et mal compris vont de paire. Nous blâmons souvent l’autre de ce qu’il a dit, de comment il l’a dit. Nous nous permettons même de sous-entendre qu’il ment, qu’il juge. Nous pensons aussi parfois qu’il a dit quelque chose alors que ce n’est pas le cas car nous n’avons simplement pas entendu et que nous n’avons simplement pas non plus compris le réel sujet ou objet de ce qui a été dit. Il arrive aussi que celui qui dit quelque chose le dit car il est persuadé que c’est la vérité… Chacun a sa vérité.
Notre ego ou notre émotionnel se sont mis en place pour saboter notre compréhension de la situation… de l’expérience que nous avons vécue.
Chaque situation, chaque expérience, chaque rencontre sont là pour nous rendre un peu plus conscient de qui nous sommes.
Ce malentendu pourquoi ne pas le lever directement en communiquant ? Ce malentendu et ce mal compris ne sont-ils pas simplement la façon dont nous ne nous écoutons pas, nous ne nous comprenons pas nous-même ? L’autre… le déclencheur de tous les maux, celui qui attise le mal devient souvent le fautif. Pourquoi ne nous posons pas pour comprendre quel part de nous nous n’entendons pas, nous ne comprenons pas ? Pourquoi donner aux mots l’occasion de nous provoquer des maux ? Nous aimons nous si peu pour croire que l’autre est le fautif de ce malentendu ? Nous posons nous clairement, bien aligné(e) (mental et émotionnel) ou contentons-nous de mal entendre, de mal comprendre et de rester dans une émotion ou du mental que nous alimentons ? Tant que nous n’aimerons pas toutes les parts de nous, tant que nous verrons l’autre comme le « mauvais », comme celui à cause de qui nous allons mal, nous provoquerons des malentendus et/ou nous les subirons.
L’autre n’est souvent qu’un reflet, une facette de notre miroir. Tant que nous ne regardons pas toutes nos facettes, les bonnes, comme les mauvaises, l’autre déclenchera en nous des émotions ou des questions. Notre inconscient ne demande qu’à être conscient et pour cela nous devons accepter qui nous sommes et savoir ce que nous voulons devenir… nous aimer.
L’autre est un plus. Quand deux plus se rencontrent c’est la fusion, l’âme agit… la magie.
Quand l’autre devient un moins c’est que l’un des deux n’est plus dans sa verticalité.
Sommes-nous vraiment un plus ? Notre mental (le vertical, le masculin) est-il aligné à notre émotionnel (l’horizontal, le féminin) ? Si oui nous sommes un plus et quand l’autre vient uniquement dans son horizontalité : sa partie féminine faite d’émotions ou, quand l’autre vient uniquement dans sa verticalité : sa partie masculine faite de réflexion; la part féminine en nous se « sent » mal ou la part masculine en nous se met dans l’ego.
Alors accordons-nous d’abord d’être un plus pour que l’autre plus puisse venir à nous et pouvoir vivre en communion (UN comme union).
Alors repérons notre plus, faisons le grandir, aimons-le et repérons les moins dans nos relations pour comprendre que nous ne sommes pas une béquille pour l’autre, un sauveur et ne nous engageons pas dans le triangle de Karpman (victime, bourreau, sauveur). Soyons responsable de qui nous sommes et de qui nous devenons. Arrêtons de jouer un rôle, acceptons nous tel(le) que nous sommes et le plus aligné(e) possible. Bien sûr nous ne sommes pas des saint(e)s mais tentons au moins de ne pas reprocher à l’autre ce qui n’est pas en équilibre en nous et ce que nous refusons de voir.
Que nos malentendus deviennent des prises de conscience de ce qui nous dérange en nous-même et que le mal compris nous le mettions en lumière plutôt que de voir en l’autre ce que nous ne voulons pas accepter chez nous.
NAMASTE
Méditation du mois d’août : le 8, l’infini, la lemniskate, les équilibres !
Article – réflexion :
Le « tout est juste »
Pic @JulieHappynGood.
Ceux qui me connaissent savent que j’aime cette expression : « tout est juste ».
Elle représente pour moi les réponses de l’Univers (c’est comme ça que j’appelle le plus grand que moi et surtout le plus grand que Moi (une partie égotique)) à mes demandes et AUX ACTIONS qui ont suivies.
Le « monde des Bisounours » est agréable et le « retour » sur terre, dans la matière, l’est souvent moins quand le « tout est juste » est une attente que l’Univers sait ce qui est bon pour nous et que nous n’avons rien à faire, rien à mettre en place pour que quelque chose se produise dans nos vies, dans la réalité, dans le concret.
Dans la réalité, dans le concret, dans ma vie, il y a des choses, des événements, des rencontres, des partages, des mots et quand ils sont choisis et vécus dans l’instant présent tout se passe pour le mieux et le « tout est juste » a toute sa place, toute ma gratitude. Il est précédé, ce « tout est juste », de choix, de prise de conscience et de confiance.
Quand je suis dans le monde des « bisounours » et que je redescends, la réalité, le concret et LA vie, me déstabilisent trop souvent par la violence, l’agressivité et aussi la passivité, l’irrespect, le manque d’amour pour soi et… pour les autres. Un niveau de conscience différent.
Le « tout est juste » ne peut prendre toute sa place et avoir toute ma gratitude quand j’attends que quelque chose se passe, quand je ne suis pas dans l’acceptation complète; si la demande et/ou l’action n’ont pas été pensées et ressenties. Je refuse toutefois de croire que ça va me tomber du ciel – même si à un moment c’est cette impression que j’ai – simplement parce que j’accepte les choses et que je n’attends rien. Dans certaines sphères et surtout, à d’autres niveaux de conscience, l’acceptation et la non attente font que tout se passe au mieux pour tous et pour toutes ; sur terre c’est différent, dans la réalité, dans le concret, dans la vie !
Pour la plupart, la vie est, ou reste, un combat; pour d’autres la passivité est une solution.
Pourquoi ne pas s’ouvrir et voir autrement, pourquoi ne pas élever notre niveau de conscience ?
Ce que nous pensons, nous le créons.
Pensons-nous toujours au mieux et… pour le mieux ? Sommes-nous sans attente réellement pour nous-même et/ou pour d’autres ? Ne nous laissons-nous pas, de temps en temps -ou trop souvent- dépasser et surpasser par un certain ego qu’il soit spirituel ou autre ?
La spiritualité autorise certains à « laisser faire, laisser dire, ne pas attendre, accepter et… ne rien faire ». Personnellement sans action rien n’est fait, rien n’est dit, rien n’est attendu et évidemment rien n’est à accepter puisque il n’y a rien dans le concret, dans la réalité… dans LA vie; La matière n’a pas de pris sa place.
Quand un de mes ego me titille, je sais le remercier, que ce soit par l’intermédiaire de quelqu’un, de mots, de situations, d’événements et… coïncidences. Quand il s’agit de l’ego spirituel, qui vient me chatouiller je l’écoute d’autant plus attentivement qu’il se cache derrière le « tout est juste ». Ce « tout est juste » est la paix, la sérénité, la plénitude et également le rappel qu’il y a encore plein de choses à créer, plein de choses à bien penser et à ressentir, plein de choix à prendre et de responsabilité consciente (et conscience grandissante) à mettre en lumière pour que la réponse de l’Univers dans la confiance et le respect de tout, de tous et … de moi soit JUSTE.
Et pour vous : tout est toujours juste ?
Vous permettez-vous de réagir, de ressentir et d’élever votre conscience un peu plus ou… attendez, acceptez-vous simplement ?
NAMASTE.
Médiation du mois de juillet : faisons briller et rayonner nos soleils … avec le soleil !
Méditation du mois de juin : le mois des réussites… des examens !
Méditation du mois de mai : le mois de Marie… retirons les MAIS !
Méditation du mois d’avril : le jaune… la confiance 😉
Méditation du troisième mois de l’année : le TROIS et ses plans
Méditation du mois de février : le coeur
Méditation de cette nouvelle année 2018 : janvier : ouvrons un nouveau livre, écrivons un nouveau chapitre
https://www.youtube.com/watch?v=58rgCOoqY8Q&t
Méditation du mois de décembre : allumons nos luminaires !
Méditation à la pleine lune !
Méditation du mois de novembre : explorons nos racines, nos profondeurs dans la position de l’Arbre !
Plus d’infos sur ma page facebook : https://www.facebook.com/ronveaux.anne/posts/10155213624281429
C’est le mois d’octobre : Vivons l’équilibre et en équilibre !
Le mois de septembre : fixons nos objectifs ou notre objectif en ce mois de rentrée !
Le mois d’août : le mois doux et… des doutes. Méditons !
L’audio du mois de juillet :
Méditation du mois de juillet : l’équilibre entre la rate et le foie et le féminin et le masculin : vive l’eau et le soleil !
Méditation – relaxation du mois de juin : le soleil et l’eau !
Comment être en canal et prêt(e) à méditer ?
C’est le mois de Mai, le mois de Marie et de la douceur de la Mère : méditons ensemble pour la douceur !
Une méditation debout pour être bien dans l’hiver :
Allez sur ma chaine youtube : Zanne Attitude.
Merci à Julie Happyngood et au Studio Nadréa !